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J'ai des ruses d'une fleur jamais on abuse.
C'est de bonne guerre quand on dit que c'est la dernière.Bienvenue à toi dans la merveilleuse ville de Yellowstone.
Sofia: Afin de pénétrer dans l'enceinte de la ville nous allons vous demander d'établir une fiche d'état civil. Aucun de vous ne pourra y échapper et malgré l'indiscrétion de certaines requêtes, nous comptons sur votre coopération.
Hayden: Ne nous cachez rien puisque, de toute façon, nous finirions par le savoir...Sofia: Commençons donc par le commencement:Nom: Stevens
Prénoms: Elizabeth Catherine Etti
Surnom(s): Betty par - et uniquement par – Adam, son frère cadet.
Date et lieu de naissance: 25 Janvier 1979
Signes Particuliers: Tatouage d’un ‘M’ en vieil anglais sur la nuque en hommage à son grand-père.Sofia: A présent nous allons vous en demander un peu plus, je sais que c'est pénible mais vous nous devez bien ça pour pénétrer dans notre ville idyllique...
Hayden: Pénible, pénible... Joue-là pas trop sympa avec les nouveaux arrivants! Il faut bien les éprouver un peu.Caractère : Diplomate, Elizabeth aide toujours à désamorcer les situations même si elle a légèrement tendance à dire tout haut ce qu'elle pense, ce qui n’aide pas forcément à calmer les esprits il faut bien l’avouer.
Prévoyante,
douée,
sérieuse avec une grande capacité d'organisation, elle est un bon planificateur. Elle agit lentement mais sûrement, et on peut se fier à elle car elle assume ses responsabilités et est
disciplinée. Incroyablement
loyale, une fois qu'elle a donné sa confiance ou sa loyauté à quelqu'un, il lui est presqu'impossible de la lui reprendre. On peut toujours compter sur elle. Quelque soit le moment, l'endroit ou le problème, elle répondra infailliblement présente. Profondément
humaniste et
empathique, elle aime donc aider les autres, sans jamais rien attendre en retour de leur part.
Rêveuse, elle a une imagination débordante et passe son temps à imaginer des histoires, enfermées dans sa petite bulle l’éloignant du quotidien. Pour finir, même si elle est toute petite, c'est une véritable
boule de nerf. Elle doit toujours avoir les mains occupées, bouger, se dépenser. Elle ne supporte pas l'ennui ou regarder la vie passer. Arrêtons cependant de la dépeindre sous son meilleur jour, Elizabeth n’est pas aussi parfaite qu’elle n’y paraît. Elle est souvent en proie au
pessimisme et à la dépression, ou bien frappé d'anxiété et de préoccupations infondées. Ce qui l'a fait dépendre des autres, ayant une personnalité plus forte qu'elle à ce moment. C’est dans ces moments de fragilité extrême qu’elle renoue avec ses manies de
scarification et d'
auto-destruction … comme pour sortir la douleur mentale via la souffrance physique en dehors d’elle. Elle est également extrêmement
protectrice et
jalouse, au bord de l’asphyxie. En particulier avec son jeune frère. Une fois qu’elle vous tient, elle voit mal l’arrivée d’autres personnages dans l’entourage de ceux à qui elle tient.
Histoire : C’est avec 15 jours d’avance qu’Elizabeth poussa son premier cri. Elle avait fait souffrir sa mère durant 7 heures d’affilés et l’avait perturbé en plein milieu d’un film, film que depuis, ni son père, ni sa mère avait vu la fin. Son arrivée au monde combla ses parents et elle fut choyée jusqu’à l’arrivée d’Adam. Aucune préférence donné à un quelconque enfant, tous était traité sur une égalité stricte.
Elizabeth était toutefois une enfant assez…turbulente, c’est le cas de le dire. Et l’envie ne manquait pas de temps à autre à son père de la claquer contre le mur pour la calmer un peu, chose heureusement qu’il ne faisait jamais. Ca n’empêchait pourtant pas la petite fille de lui être reconnaissante et de rester calme. Non, avec son frère, c’était à qui sautait sur le canapé pour faire sauter les boutons, à qui tirait les rideaux pour les faire tomber, à qui se roulait dans la boue le jour de la rentrée des classes. En résumé, Elizabeth était une enfant chieuse.
Qui plus est, elle avait une sérieuse tendance à fuguer. Enfin, non pas vraiment fuguer, juste disparaître lorsque l’envie lui prenait. Et à chaque fois, c’était ses grands parents qui en faisaient les frais. C’est même étonnant qu’ils n’aient pas eu de crise cardiaque avec une petite fille comme ça. Mais c’était sa nature qui faisait ça. Elle voulait sans cesse découvrir le monde.
Après une enfance agitée, Elizabeth a eu une adolescence plus calme. Elle ne faisait partie d’aucun groupe particulier, se présentant plutôt comme une observatrice neutre et sans opinion de ses camarades de classes dans leur déviances, préparant par la même son avenir. Elle n’était pas sportive, était dans la moyenne, noyée dans une masse anonyme, loin des frasques de son frère cadet qu’elle sentait s’éloigner de jours en jours. S’agissant des garçons, oh les garçons, ceux-ci ne commencèrent à la remarquer qu’à partir de son avant dernière année de lycée. Et elle considéra la chose tout d’abord avec étrangeté, leur demandant ce qu’il leur prenait. Elle n’avait pas changé dans sa tête. Elle était toujours la même mentalement, mais physiquement, elle éveilla une toute autre volonté de leur part. Elle acquit une popularité certaine lors de sa dernière année, étant amis avec tous les groupes se retrouvant en chacun d’eux.
Puis elle fut acceptée sur les bancs de la faculté des lettres – Anglais, Journalisme et Langues européennes à l’Université de Tasmanie, Adélaïde. Au moins, elle n’eut guère de changement d’un point de vue paysager mais tellement différent de sa ville natale. C’est là-bas qu’elle rencontra Aaron, son premier grand amour. Lui-même, étudiant de 4ème année de journalisme, ne tarda pas à la prendre dans ses filets dès la soirée de bizutage. Rapidement, ils s’installèrent ensemble, délaissant le campus pour un appartement en centre-ville près du lieu de travail d’Aaron, la rédaction du The Adviser. Diplôme en poche, la jeune fille tenta de faire publier en vain ses romans mais des refus catégoriques lui furent objectés sans qu’elle puisse jamais défendre son travail. Aaron lui trouva un poste dans son journal et elle fut promue chef de la rubrique … nécrologique, enterrant par la même ses ambitions d’écrivaines. Un jour, elle en eut assez.
Un évènement marquant :« Je crois que je vais partir. »Les mots étaient finalement lâchés, tels des monstres à la mâchoire d’acier qui réduisaient en charpie leur avenir. Aaron se tenait face à elle dans ce même parc où ils avaient l’habitude de regarder le soleil se faire happer par l’océan. Il avait accusé le coup de ces propos et le silence avait été la seule réponse qu’il avait pu lui fournir. C’était si soudain mais tellement vital.
« Je pense que je vais commencer une nouvelle vie. »Elle avait poursuivi pendant qu’il digérait l’information. Elle culpabilisait légèrement. Bien sûr, elle l’aimait toujours un peu, du moins c’est ce qu’elle se plaisait à penser. Mais voilà. Elle n’était pas heureuse. Elle ne savait pas ce qu’elle voulait. Pour connaître à nouveau ses propres sentiments, elle ressentait le besoin de s’éloigner. De repartir à zéro. De retrouver ses repères.
« Je suis fatiguée. J’ai vraiment besoin d’une nouvelle vie, recommencer tout à zéro. »Puis elle s’était tue. Enfin. Il n’avait pas réagi. Il n’avait pas saisi. Elle était alors partie, sans ajouter un mot de plus, sans un regard et était sortie de sa vie. Pour tout recommencer à Yellowstone.
Passions : Des passions dans la vie d’Elizabeth ? La première qui vient directement à l’esprit, c’est l
’écriture et
la lecture, bref tout ce qui lui permet de s’évader de son quotidien morne et insipide ou au contraire permettant d’amplifier ou répéter chaque évènement de sa vie. C’est tellement plus amusant. Vient ensuite
la musique. Elle n’est pas douée pour la faire mais n’envisage pas de vivre sans. C’est simple, pour reprendre les termes qu’elle avait employé à l’encontre de son professeur de math qui lui demandait pourquoi elle faisait ses devoirs en écoutant de la musique,
‘parce que sans ça, je m’ennuie’. Preuve une fois de plus de son hyperactivité. Dans ce même ordre d’idée, elle adore sortir s’amuser, écouter de la bonne musique – quelle que soit son genre – et si possible avec son frère et ses amis, notamment Hayden Johnson … Mais non, ce dernier n’est pas à classer dans les passions … J’ai dit non ! Pour terminer, citons
les voyages, même si l’endroit le plus éloigné qu’il lui ait été donné de visiter est la Nouvelle-Zélande en classe de 3ème mais on a pas besoin de le préciser. Elle adore découvrir de nouveaux endroits mais a toujours besoin de son pied à terre à Yellowstone.
Description physique : Elizabeth est
petite, la plus petite de sa famille : 1m63. Difficile de faire plus petit ! D’autant plus si elle se tient aux côtés de son petit frère, qui n’est petit que de nom. Mais elle n'en a pas pour autant développé un complexe d'infériorité. Elle a de très beaux yeux oscillant
entre vert et gris selon la lumière du jour. S’agissant des cheveux, ils sont immensément longs et raides d'un
noir ébène, pourvue d’une frange nette et fournie. Elle les laisse détachés la plupart du temps mais lorsqu’ils l’agacent de trop – ce qui arrive assez souvent – elle les attache en un chignon lâche.
Fine et
souple, Elizabeth est
hypnothisante et ses grands yeux de biche jouent beaucoup en ceci. Pour ce qui est de la manière de se vêtir, elle privilégie les vêtements
confortables, ni recherchés, ni trop originaux. Elle fait primer le classique et le confort, restant d’une simplicité déconcertante. Elle ne fait pas particulièrement attention à son look. Par contre en soirée, si elle en a envie, elle peut tout à fait se montrer sous un jour bien plus avantageux, même carrément
sexy. Faut seulement qu’elle en ait envie, ce qu’elle décide lorsqu’elle a une idée derrière la tête.
Sofia: Si vous avez bien lu notre règlement vous serez donc à même de répondre à la petite question incluse dedans:O.KSofia: Afin de pénétrer dans notre ville merveilleuse nous avons juste quelques petites questions sur vous derrière vos écrans.
Hayden: Et oui, vous vous croyez à l'abri, mais pourtant...Âge: 23 ans
Sexe: Une gente demoiselle.
Niveau de RP /20: dans le doute 15/20. Tout dépend de mon inspiration et de la présence ou non d’un mal de crâne – assez récurrent je l’avoue.
Comment avez-vous connu le forum? Je me promenais tranquillou à Chicago lorsque, surgissant de nulle part, il m’a sauté dessus et m’a emmené loin, loin du vent glacial. Noël sur la plage … Que demande le peuple ?
Un avis? Un commentaire? Bah rien si ce n’est bon boulot aux deux admin !
Ah, et ça manque de mrgreen.
Sofia:Nous espérons ne pas avoir été trop curieux et nous vous remercions de votre patience et coopération.
Hayden: Et préparez-vous à des rencontres qui vous changeront...Hayden et Sofia Johnson, maîtres inconstestés de Yellowstone.